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Adriano ne veut pas revenir

Selon son agent, Adriano ne souhaite pas revenir jouer en Italie. L'attaquant brésilien avait annoncé la semaine dernière vouloir faire une pause dans sa carrière de footballeur. «Je ne pense pas qu'il reviendra jouer en Italie» a affirmé Gilmar Rinaldi dans les colonnes de La Gazzetta dello Sport après s'être entretenu avec les dirigeants de l'Inter Milan.

A 27 ans, Adriano est sous contrat avec le club italien jusqu'en juin 2010. Massimo Moratti, le président du club lombard, avait déclaré mercredi envisager une résiliation de ce contrat.

Toni propose Mancini

Alors que les jours de Jürgen Klinsmann sont comptés sur le banc du Bayern Munich, certains joueurs de l'effectif ne se priveraient paspour proposer des pistes à leurs dirigeants. Ainsi, selon l'Equipe vendredi, Luca Toni aimerait voir l'un de ses compatriotes débarquer en Bavière. «Roberto Mancini est un grand entraîneur. Il apporterait beaucoup de bonnes choses au Bayern», aurait lâché l'attaquant italien, à propos de l'ancien coach de l'Inter Milan

Le PSG sombre à Kiev

Le Paris-SG a dit adieu aux demi-finales de la Coupe l'UEFA, en s'inclinant largement ce jeudi sur le terrain du Dynamo Kiev (3-0). Une déroute qui s'explique avant tout par les errements de l'arrière-garde parisienne, et notamment de Mickaël Landreau, fautif sur les trois buts ukrainiens.

L'aventure européenne s'achève pour le PSG, avec beaucoup de regrets. Le club de la capitale ne humera pas le doux parfum d'une demi-finale de Coupe d'Europe, 12 ans après sa dernière accession à ce stade de la compétition, au printemps 1997. La tâche semblait pourtant à la portée des hommes de Paul Le Guen, puisqu'un match nul 1-1 leur aurait ouvert les portes du dernier carré après le 0-0 du match aller au Parc des Princes. Malheureusement, les joueurs sont passés à côté de leur rencontre, emportés par les errements de leur arrière-garde. Menés 2 à 0 dès la 16e minute après une entame catastrophique, irrémédiablement distancés à l'heure de jeu, les Parisiens ont vite compris que cette soirée ne serait pas la leur.

Paris sans défense


La faute en incombe principalement à une défense dépassée par les événements, à l'image d'un Landreau hors sujet. L'ancien Nantais a certes sorti quelques bonnes parades, comme sur cette frappe surpuissante d'Aliyev (41e). Mais sa responsabilité est engagée sur les trois buts encaissés par le PSG : Une énorme bourde au quart d'heure de jeu, avec ce ballon boxé du poing dans ses propres filets (2-0, 16e). Un coup-franc de 30 mètres d'Aliyev relâché dans les pieds de Vokojevic (3-0, 61e). Et une certaine passivité sur l'ouverture du score de Bangoura, d'une frappe à ras de terre des 25 mètres (1-0, 4e). Sur cette réalisation, Landreau n'était certes pas le seul fautif : Traoré avait été largué par l'accélération de l'ancien Manceau dans l'axe... d'où la sortie peuaprès du défenseur central parisien, apparemment trahi par des adducteurs douloureux. Mais avec de telles erreurs, le PSG ne pouvait pas gagner, malgré la bonne volonté manifestée par Clément, Chantôme ou encore Armand, plutôt en jambes pour son retour de blessure.

Le Dynamo ne l'a pas volé


Cette défaite s'explique aussi et surtout par la qualité du jeu déployé par le Dynamo Kiev, qui a sans cesse attaqué et s'est procuré un nombre incalculable d'occasions, notamment en première période. Les deux pointes de l'attaque ukrainienne - Bangoura et Milevskiy - ont été intenables, tandis que chacune des frappes de l'excellent Aliyev a inquiété Mickaël Landreau. Leader avec 15 points d'avance en Ukraine, assuré de disputer la Ligue des champions la saison prochaine, le Dynamo s'est affirmé ce soir comme un sérieux prétendant à cette couronne continentale. Le PSG peut quant à lui se mordre les doigts d'avoir encaissé trois buts plus qu'évitables. Mais à toute chose malheur est bon : il aura au moins les mains libres pour bien terminer la saison en championnat...

L'OM tombe aussi dans le piège

Il n'y a plus de club français en Coupe de l'UEFA. Ultime représentant tricolore après l'élimination du PSG à Kiev (3-0), Marseille a subi le même sort en s'inclinant face au Chakhtior Donetsk (1-2), jeudi soir, au Vélodrome. Les Phocéens se sont pourtant créés une montagne d'occasions.

Le Vélodrome avait imaginé une nuit magique. Comme face à La Corogne en 2005, il avait rêvé de voir l'OM effacer ses deux buts de retard. Mais face au Chakhtior Donetsk, il a vécu une soirée au dénouement implacable : une élimination née d'une deuxième défaite en une semaine contre les anciens partenaires de Brandao. Sans leur attaquant brésilien, les Marseillais n'ont donc pas su inverser la tendance en Coupe de l'UEFA. Les statistiques ne leur donnaient que 20% de chances d'y parvenir.

Deux heures plus tôt, Paris avait pris l'eau à Kiev (3-0). A l'instar du PSG, la bande à Gerets est tombée dans le piège ukrainien. Au lieu d'un Clasico à la sauce hexagonale, l'Europe assistera à une confrontation entre le Dynamo Kiev et son dauphin. Car entre le tout frais leader de la Ligue 1 et le deuxième du championnat d'Ukraine, l'affrontement a tourné court. Dans ce match « le plus difficile de l'année », dixit Gerets, le Chakhtior a planté deux coups de poignards : le premier à la demi-heure de jeu, sur un but heureux de Fernandinho dans un angle improbable, bien aidé il est vrai par un tacle de l'infortuné Kaboré (0-1, 31e); le second dans les ultimes secondes, lorsque Luiz Adriano, lancé à la limite du hors-jeu, a glissé le cuir entre les jambes de Mandanda (0-2, 93e).


Deux tirs cadrés sur 31 !


A 0-1, Marseille devait marquer quatre fois. Autant dire mission impossible. Dans son 4-2-3-1 tourné vers l'avant, il n'a pourtant pas ménagé ses efforts pour entretenir la flamme de l'espoir. Hatem Ben Arfa l'a même rallumée juste avant le repos, en battant Piatov de près (1-1, 43e). Mais les chiffres ramènent souvent à la dure réalité : par manque d'adresse et de précision, ils n'ont cadré que deux de leurs 31 tirs sur la cage ukrainienne. Le scénario aurait pu prendre une autre tournure si un Mistral gagnant avait soufflé sur la Canebière. Si, sur deux services millimétrés de Kaboré, la tête de Koné (50e) et la reprise de Cheyrou aux six mètres (52e) avaient fait mouche. Si le but de Samassa n'avait pas été sanctionné d'un coup de sifflet pour une charge aérienne sur Piatov (78e).

La formation olympienne a affiché la même maîtrise collective qu'elle dégage depuis des semaines. Mais à trop osciller entre la nécessité d'inscrire au moins deux buts et le couperet d'en encaisser un, elle n'a pas su trouver le juste équilibre. Elle n'avait pas eu de tels états d'âme pour atomiser Grenoble (4-1) et Saint-Etienne (0-3) lors de ses deux dernières sorties hexagonales. Sur la scène européenne, c'est devenu une sinistre ritournelle : même la meilleure équipe française du moment ne fait plus le poids face aux pays émergents de l'Est. L'OM ne disputera pas sa troisième demi-finale de C3 en dix ans. Il ne lui reste que sept matches de Championnat pour tourner la page.

je m'y attendais un peu, ils avaient perdu lors du match aller alors c pas une surprise

pauvre français

dommage pou l'om j'aurais aimé les voir qualifier

Bolivie Du viagra contre l'altitude

L'ancien préparateur physique du club de Blooming de Santa Cruz (D1 bolivienne) a reconnu avoir administré du Viagra en 2008 à plusieurs des joueurs dont il avait la charge, lors de matches disputés à La Paz (3 570 m d'altitude). «Nous utilisions du Viagra et nous l'avons prescrit à plusieurs joueurs, surtout ceux qui souffraient le plus de l'altitude», a expliqué le Chilien Rodrigo Figueroa, au quotidien local La Prensa. Le médicament, qui améliorerait les capacités d'oxygénation, a été dissout dans des jus de fruits, afin que «les huit ou neuf joueurs concernés ne sachent pas ce qu'ils ingurgitaient», a révélé le préparateur physique, du Bolivar de La Paz.
La molécule du Viagra ne fait pas partie de la liste des produits considérés comme dopants, car elle n'est prohibée ni par l'Agence mondiale antidopage (AMA) ni par la Fédération internationale de football (Fifa).

Voronin va revenir

Prêté cette saison au Hertha Berlin, Andreï Voronin devrait retrouver Liverpool la saison prochaine. Auteur d'une grosse saison en Allemagne (onze buts en 23 matches de Bundesliga, l'attaquant international ukrainien serait hors de prix pour le club allemand. «Je commence déjà à faire mes valises. La situation à Berlin n'a pas beaucoup bougé en matière de contrat. Il est probable que Liverpool va me récupérer» a confié Andreï Voronin à l'agence allemande d'informations sportives SID.

Sous contrat avec Liverpool jusqu'en juin 2011, l'attaquant ukrainien de 29 ans, passé par le FC Cologne et le Bayer Leverkusen, n'a disputé qu'une seule saison en Angleterre, en 2007-2008

Puel : «Un match de costauds»


A la veille d'un match capital à Bordeaux, Claude Puel, entraîneur de l'OL, désormais deuxième du championnat, revient sur la situation du club rhodanien et se montre plutôt optimiste . Lyon a pourtant perdu sa place de leader la semaine dernière, au profit de Marseille, mais pas de quoi inquiéter le flegmatique Puel. «Nous avons vécu une semaine de qualité dans l'investissement et dans l'entraînement. Cela n'a rien amené de particulier d'avoir perdu la première place. Nous ne pensions pas avoir gagné le championnat en étant premiers, nous ne pensons pas l'avoir perdu depuis que nous ne sommes plus leaders.»

Si le match à Bordeaux est essentiel dans la course au titre, Puel en minimise l'enjeu : «Cela va se jouer partout, tellement le championnat est serré. Il se joue à chaque match pour nous comme pour nos adversaires, et ne se jouera pas particulièrement à Bordeaux». Le coach s'attend tout de même à un match engagé, aussi «particulier» que le match aller, remporté par Lyon (2-1) malgré la domination bordelaise en début de match. «Il faut être présent physiquement. Cela fait partie du jeu. Ce sera certainement un match de costauds. Cela se jouera sur d'autres arguments également. Les deux équipes ont du potentiel. Bordeaux a une grosse densité physique et est très l'aise dans le domaine aérien et les phases arrêtées. Chacune des deux équipes a ses arguments à faire valoir.»

Taiwo et Niang KO, Ziani OK


La rencontre perdue (1-2) face au Chakhtior Donetsk, jeudi, a laissé des traces. Mamadou Niang, qui souffre d'une inflammation de la hanche, et Taye Taiwo, qui a contracté une lésion de l'adducteur de la jambe droite,sont forfait pour le déplacement à Lorient, dimanche (17h). Le Sénégalais devra observer un repos d'une semaine tandis que le latéral gauche nigérian est indisponible quinze jours au minimum. Eric Gerets enregistre, en revanche, le retour de Karim Ziani, qui effectue sa rentrée après son opération aux adducteurs. Enfin, Rodriguez (entorse de la cheville) et Bonnart (adducteurs) sont toujours absents.

Le groupe marseillais : Mandanda, Riou - Civelli, Zubar, Mears, Hilton - Kaboré, Cana, M'Bami, Cheyrou, Zenden, Valbuena, Ziani, Ben Arfa - Koné, Brandao, Wiltord, Samassa.

Un honneur à défendre


Reléguée à dix longueurs de l'Inter Milan, la Juventus Turin a mis une croix sur le Scudetto. Mais samedi soir au Stadio Olimpico (20h30), lors de la 32e journée, la Vieille Dame aura l'occasion de glaner une victoire de prestige contre son ennemi nerazzurro. Ce ne sont pas seulement trois points qui sont en jeu mais l'honneur de tout un club.



Série A Production et LegaCalcio Réalisation ont le privilège de vous présenter le « Derby d'Italie » : Juventus Turin (2e) - Inter Milan (1er) ! Ce n'est pas un film mais ça aurait pu l'être tant la mise en scène de ce classique est bien ficelé. Plus qu'un choc entre les deux premiers de Série A, une rivalité historique, quasi haineuse, alimentée par la relégation de la Vieille Dame en Série B lors de l'affaire du Calciopoli. Depuis le Scudetto 2005-2006 retiré aux Piémontais et attribué au club de Moratti, le contentieux est encore plus lourd. Sans compter les joueurs, Vieira et Ibrahimovic, ayant trahi la Juve pour rejoindre l'ennemi juré. Ce combat, les Bianconeri, avides de revanche et animés d'une forte rage de vaincre, l'attendent le couteau entre les dents, tant ce maillot bleu et noir de l'Inter ne quitte plus leurs pensées un seul instant.


Des millions de fans attendent une victoire


L'AC Milan, revenu à deux points, menace la place de dauphin des coéquipiers de Trezeguet. Mais la formation de Claudio Ranieri s'en moque et ne se retourne pas. Elle sait que le retard pris lors des deux dernières journées (un nul, une défaite) lui sera sans doute fatal pour le titre mais la réception de l'Inter se situe bien au-delà de toutes ces considérations. Gianluigi Buffon, qui vient d'encaisser six buts en deux rencontres, en fait l'affaire de tout un peuple. « Nous devons gagner pour rendre nos tifosi heureux (ndlr : la Juve compte 14 millions de supporters rien que dans la Péninsule) ainsi que nous-mêmes. Succomber comme à l'aller (0-1), même si je n'étais pas présent, me gênerait. L'Inter mérite ce qu'elle a, même si ce qui nous est arrivé dans le passé nous a posé des problèmes. Ils n'ont fait à personne ce qu'ils nous ont fait. » Il y a des phrases comme celles-ci qui lancent les hostilités. Et Giovanni Cobolli Gigli, le président de la Juventus, a annoncé la couleur. « Bien au-delà des points, nous jouerons notre fierté et notre honneur. » Désormais, il ne reste plus qu'à écrire le scénario.

Torres tenté par l'Italie

Même s'il se sent « comme chez (lui) à Liverpool », Fernando Torres a avoué vendredi son attirance pour la Serie A, le championnat italien, qu'il espère découvrir après son expérience chez les Reds. « J'aimerais rester plusieurs saisons ici. Les supporters m'ont accueilli comme l'un des leurs et traité comme Gerrard ou Carragher. Dans quelques années, j'aimerais jouer en Serie A. Comme ça, j'aurais joué dans les trois plus grands Championnats européens : Espagne, Angleterre et Italie.» Sous contrat jusqu'en 2013, El Nino, qui a inscrit 11 buts cette saison en Premier League, est l'un des chouchous d'Anfield.

ya 3mri ya 3mri 3la ibrahimovic et del piero, mes deux chouchous

sempre con gli blanconeri

ils ont fait 1-1

L'Inter en patron


L'Inter a fait un pas de plus vers son quatrième titre successif en obtenant le nul (1-1) sur la pelouse de la Juventus en match avancé de la 32e journée. La Juve reste à dix points alors qu'il ne reste plus que six journées à disputer.


Il faudrait désormais une série de résultats catastrophiques pour que l'équipe milanaise n'emporte pas le 17e Sscudetto de son histoire. Une hypothèse hautement improbable, pour ne pas dire farfelue, tant sa solidité et sa puissance sont rarement mises en défaut.
La rencontre a d'ailleurs parfaitement montré tout ce qui séparait l'Inter de la Juve cette saison : la première a globalement maîtrisé les débats, ouvrant la marque sur un contre parfaitement mené, tandis que la seconde, trop brouillonne, a dû attendre les derniers instants pour enfin égaliser. Du côté de l'Inter, l'homme du match s'appelle Balotelli : c'est le jeune attaquant de 18 ans qui a marqué le but de sa formation, trompant Buffon d'une frappe croisée à la suite d'un centre de Muntari (64e).

En première période, il s'était déjà distingué en se créant la meilleure occasion, un tir détourné in extremis par Tiago devant la ligne (10e). Enfin, juste avant de sortir, remplacé par Vieira (77e), il a indirectement contribué à mettre encore plus en difficulté la Juve, le milieu turinois Tiago étant exclu à la suite d'une faute sur lui (75e). Les Milanais se montrant un brin arrogant à cet instant dela partie.
La Juve, qui avait déjà fait une croix sur le titre mais qui tenait tant à s'imposer «pour l'honneur», n'a pour sa part jamais donné la sensation qu'elle pouvait l'emporter, butant systématiquement sur la défense nerazzurra.
Mais au moins, elle a montré que, même réduite à dix, elle ne lâchait pas prise, égalisant grâce à une tête du défenseur latéral Grygera en toute fin de match.

Ranieri s'en contente

Après le match nul concédé par le Juve contre l'Inter (1-1), samedi soir, au Stadio Olimpico, Claudio Ranieri s'est montré satisfait de la réaction de ses joueurs, revenus au score dans le temps additionnel alors qu'ils étaient en infériorité numérique. « Après l'ouverture du score de l'Inter et l'expulsion de Tiago, l'équipe n'a pas abdiqué. Elle s'est battue jusqu'au bout pour obtenir une égalisation méritée avec ce coup de tête de Grygera, a souligné l'entraîneur de la Vieille Dame. Après deux résultats négatifs, je suis content de la réaction de l'équipe. »

Critiqué de l'autre côté des Alpes pour son coaching et sa frilosité, Ranieri n'a pas souhaité répondre à des détracteurs. Le technicien italien préfère regarder de l'avant avec la demi-finale retour de Coupe d'Italie, mercredi (20h45), contre la Lazio Rome (aller 2-1 pour les Laziale). « Maintenant pensons à la Lazio. Il faudra encore faire un gros match pour renverser la situation et se qualifier pour la finale. »

Cannavaro de retour à la Juve?

Selon des informations de SkySport 24, Fabio Cannavaro aurait donné son accord à la Juve pour un contrat d'un an assorti d'une année supplémentaire en option.

En fin de contrat en juin prochain au Real Madrid, le défenseur central italien, âgé de 35 ans, avait quitté le navire bianconero lors de sa relégation en 2006 à la suite de l'affaire du Calciopoli. Si le retour du Ballon d'Or France Football 2006 venait à être confirmé, cela pourrait faire grand bruit du côté des inconditionnels de la Vieille Dame, qui ne lui ont pas pardonné son départ alors que le club descendait en Série B

sava profité a milan ac ce nul

Wenger : « Deux buts faciles »

Après la défaite de son équipe face à Chelsea (1-2), en demi-finale de la Cup, le manager d'Arsenal Arsène Wenger avait, évidemment, la mine des mauvais jours. « C'est une grosse déception, a lâché le coach alsacien après la rencontre. Nous avons donné deux buts faciles à Chelsea. Nous étions un peu plus fatigués qu'eux car nous avons joué huit matches en vingt-quatre jours. Je pensais que le match irait en prolongation mais nous avons encaissé deux buts très décevants. Je suis aussi très déçu par rapport à la qualité du terrain. C'est une blague que la pelouse soit si mauvaise dans un stade qui a coûté autant d'argent. »

Wenger a également rendu un semi-hommage à Didier Drogba, buteur décisif mais à l'attitude qui agace ses adversaires : « Drogba est un grand joueur parce qu'il marque dans les grands matches, même si nous lui avons facilité la tâche aujourd'hui. Il plonge parfois trop mais il reste un grand joueur. Il faut maintenant que nous rebondissions très vite. »

Dans le camp adverse, Guus Hiddink a mis l'accent sur la capacité de réaction de son équipe, qui a su reprendre le contrôle du match après l'ouverture du score. « Cette victoire est entièrement méritée, estime l'entraîneur hollandais. Nous avons mal débuté le match et il a fallu que l'on s'adapte et on l'a fait après leur but. On a contrôlé le milieu de terrain et on s'est mis à jouer, même si parfois nous avons joué trop bas. On a dominé la rencontre. On avait le sentiment que tôt ou tard, on allait marquer le deuxième but. (...) Drogba est incroyable, il marque presque à chaque match et travaille très dur pour l'équipe. Mais je tiens à féliciter tout l'effectif. Ils réagissent toujours. »

Tiens, revoilà le Milan





A 7 journées du terme, le Milan AC - qui reçoit le Torino ce dimanche à 20h30 - revient en forme et peut encore espérer s'emparer de la 2e place de la Série A, détenue par la Juve. Voilà qui redonnerait un peu de couleur à une saison globalement bien terne... (photo Presse-Sports)



Bien sûr, cette saison 2008-2009 ne restera pas dans les annales du côté de Milanello... Comment pourrait-il en être autrement dans un club habitué à tout rafler, 7 fois vainqueur de la Ligue des champions, 17 fois champion d'Italie ? Au Milan AC, les motifs d'insatisfaction, voire de colère, ont été nombreux ces derniers temps : l'absence en Ligue des champions d'abord, l'élimination précoce en Coupe de l'UEFA ensuite (aux dépens du Werder Brême), mais aussi et surtout ce parcours chaotique en Série A, marqué par des défaites contre la Juve (2-4) et l'Inter (1-2). Ajoutez à cela la baisse de régime de certains cadres - Kaka, Pirlo - et le vieillissement de l'effectif, et vous obtenez ce sentiment de déclassement sans doute ressenti par de nombreux supporters rossoneri... Dur à digérer pour cette équipe qui régnait sur l'Europe il y a encore deux ans.


En chasse derrière la Juve


Pourtant, l'état du malade semble maintenant s'améliorer. Depuis quelques semaines, le Milan (3e au classement) pointe à nouveau le bout de son nez en Série A, et se prend à rêver d'une brillante fin de saison. Pour préparer la reconquête. Les Rossoneri restent en effet sur 4 victoires et 1 nul, soit 13 points sur 15 possibles. C'est autant que l'Inter, et mieux que la Juve (10 points), sur la même période. Portés par la forme des vétérans Inzaghi et Seedorf ainsi que du jeune Pato, les Milanais ont repris espoir : le ticket pour la Ligue des champions devrait être bientôt composté (6 points d'avance sur le 5e, la Fiorentina), et la place de dauphin détenue par la Juve est en ligne de mire (61 contre 63 points). Dimanche, au lendemain du choc entre l'Inter et la Vieille Dame, le Milan AC se mesurera au Torino (17e), à San Siro. Un formation qui vient de relever la tête après 4 défaites consécutives (victoire 2-1 face à Catane), mais reste fragilisée, à un petit point de la zone relégation. Bref, l'occasion rêvée pour montrer que le Milan AC est bien de retour.

Milan chasse la Juve


Auteur d'un grand match, Pipo Inzaghi a permis dimanche à l'AC Milan de s'imposer à domicile, face au Torino (5-1). Et de prendre ainsi position à la 2e place du classement.



L'AC Milan a donc confirmé sa belle passe, dimanche, à domicile, face au Torino, en match de clôture de la 32e journée de Serie A. Les coéquipiers de David Beckham se sont imposés sans trembler (5-1), signant ainsi leur cinquième victoire lors des six derniers matches. Cerise sur le gâteau, les hommes de Carlo Ancelotti s'emparent de la 2e place du classement. La Juve est chassée. La qualification directe en Ligue des champions se profile à l'horizon.

Un rythme de champion

Avec 16 points pris sur 18 possibles, l'AC Milan est actuellement en forme. La victoire des Lombards, dimanche, face au Torino, ne souffre d'aucune contestation. Viser un 18e titre est certes utopique, car il sera difficile de remonter les 10 points de retard sur l'Inter Milan, mais la qualification directe en C1 est quasiment validée. Les supporters rossoneri peuvent savourer. Et remercier Pipo Inzaghi, auteur dimanche d'un triplé dont lui seul a le secret.

A 35 ans, Inzaghi est un vieux renard qui ne lâche rien. Dès la 12e minute, il faisait mouche d'une tête rageuse. L'ex-attaquant de la Juve remettait le couvert à la 37e minute, sur un superbe service de Beckham. Son 3e but du pied droit à la 60e minute mettait définitivement Milan à l'abri d'un retour des visiteurs. Avec 11 buts inscrits en seulement 10 titularisations, Pipo Inzaghi a prouvé que son sens du but était intact. Remarquable.

Bordeaux gagne face à Lyon


Dans un sommet engagé entre deux formations physiques et accrocheuses, Bordeaux s'est imposé de justesse face à Lyon (1-0), ce dimanche, à Chaban-Delmas. Un succès qui permet aux Girondins de passer devant l'OL au classement et de revenir dans la lutte pour le titre, à deux unités du leader marseillais.



Dix ans que Bordeaux attendait pareil événement. Depuis un missile des 35 mètres de Lassana Diabaté et une courte victoire le 22 mai 1999 (1-0), les Girondins n'étaient plus parvenus à battre l'Olympique Lyonnais sur leur pelouse. Une longue attente que les plus nostalgiques des supporters aquitains ne manqueront pas de mettre en parallèle avec le dernier titre de champion de France des Girondins remontant à... 1999 ! Invaincus depuis ses 30 derniers matches de Ligue 1 à domicile, Bordeaux a parfaitement su saisir la chance qu'il lui était offerte de doubler les hommes de Claude Puel au classement. Absent depuis trois semaines, Toulalan (pied gauche) redonnait pourtant d'entrée de match force et impact à un milieu de terrain lyonnais bien trop fébrile face à Monaco (2-2), dimanche dernier. Les bonnes intentions du septuple champion de France en ce début de rencontre n'étaient pourtant pas rétribuées. Bien au contraire... Dès la cinquième minute de jeu, Ederson, à l'angle gauche de la surface, prenait le dessus sur Chalmé, qui le taclait les deux pieds en avant. Le Brésilien s'écroulait logiquement sous l'impact mais M. Bré ne bronchait pas alors que le penalty paraissait s'imposer devant l'attentat du défenseur bordelais.


Le message de Triaud bien passé


La délivrance girondine allait survenir au plus mauvais instant pour les Lyonnais. Sur un corner frappé par Wendel, le ballon revenait sur l'ailier gauche brésilien qui enveloppait une frappe brossée venant s'écraser sur le poteau gauche de Lloris. Alou Diarra, en embuscade au point de penalty, pouvait alors facilement inscrire (43e) sa deuxième réalisation de la saison en Championnat. Un coup de massue pour les Gones juste avant le repos, eux qui avaient déjà été sevrés de penalty en début de rencontre. Le président des Girondins, Jean-Louis Triaud, peut se féliciter que son équipe soit toujours engagée dans la lutte pour le titre après cette 32e journée. « Quand tu t'inscris dans une compétition, c'est pour la gagner » confiait samedi, le dirigeant bordelais, au journal l'Equipe, balayant d'un coup le supposé manque d'ambition des hommes de Laurent Blanc. Karim Benzema donnait des sueurs froides à Triaud lors de son face-à-face manqué avec Ramé (76e), avant que Chamakh n'écrase une tête sur la barre de Lloris (81e), puis manque son duel avec le portier lyonnais (83e), bien sorti. La fin de saison s'annonce en revanche très compliquée sur les bords du Rhône. A six journées de la fin, ce sont bien Bordeaux et Marseille qui se trouvent les mieux placés pour faire chuter les Gones de leur piédestal pour la première fois depuis 2001.

merciiii jessy j'adooooooooooooooooooooore toutes ces infos sur le foot surtout italien ou anglais!!


donc si bordeaux a gagné face à lyon cela fait les affaires des marseillais, ça les arrangent bien, vive l'OMMMMMMMMMMMMM

Une première pour la Palestine

L'équipe nationale de Palestine disputera un match amical de football pour la première fois en Europe, le 6 mai à Bruxelles. Les Palestiniens rencontreront le FC Brussels, club belge de 2e division, au stade Edmond Machtens de Molenbeek, dans la région de Bruxelles. Ce match se tiendra dans le cadre du soixantième anniversaire de l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), fondée en 1949 pour venir en aide aux réfugiés et déplacés.

«C'est un grand événement car c'est la première fois que l'équipe nationale va jouer en Europe», a souligné Leila Chahid, déléguée générale pour la Palestine à Bruxelles. Le match classé à risques par les autorités belges se déroulera sous haute surveillance policière, a précisé le maire de Molenbeek, qui refuse cependant de faire de la rencontre «un événement de politique politicienne». La Fédération palestinienne a intégré la FIFA en 1998.

Al-Fayed fustige la fédération

Le propriétaire de Fulham Mohamed Al-Fayed possède un sens inné de la formule. Lundi, sur le site officiel du club londonien, l'homme d'affaire égyptien a assuré que le football anglais était «dirigé par des ânes qui ne comprennent rien aux affaires et qui sont éblouis par l'argent», car ils refusent d'introduire des règles de limitation des salaires de joueurs. «Nos dépenses ont augmenté de 17% le mois dernier, poursuit le propriétaire du magasin de luxe Harrods. Comment cela peut-il être juste que les joueurs de haut niveau gagnent de 15 à 20 millions de livres par an? C'est dingue».

Racisme: un match à huis clos

La sanction est tombée. Deux jours après les cris et autres chants racistes proférés à l'encontre de l'attaquant de l'Inter Mario Balotelli lors du choc face à la Juventus, la Ligue de football italienne a décidé de sévir ce lundi : la Vieille dame écope d'un match à huis-clos. Devant l'ampleur qu'a prisl'affaire, la Ligue, qui se réunit habituellement le jeudi, a décidé de se réunir au plus vite pour sanctionner la Vieille Dame.

Samedi dernier, des supporters du Stadio Olmimpico s'en sont pris à Mario Balotelli dès le début du match puis plus intensément après avoir reçu un coup de Tiago qui avait provoqué l'exclusion du joueur de la Juve. Les excuses du président de la Juve dimanche soir n'ont pas suffi: «Au nom de la Juventus et de la grande majorité de nos supporteurs, je veux condamner sévèrement les cris racistes contre le joueur Mario Balotelli.»
Mais le juge sportif a estimé que le club aurait dû faire plus, regrettant «l'absence de toute manifestation de la part des autres supporteurs pour se dissocier ou d'intervention dissuasive de la part du club». L'affaire a fait grand bruit en Italie : «Des affaires comme celles-ci ne peuvent se produire sans que des mesures soient prises», a ainsi déclaré Sergio Campana, le président du syndicat des joueurs. «Cette démonstration de racisme, de surcroît contre un joueur italien, est absolument inacceptable», a-t-il poursuivi.

La sanction a été prise rapidement et les autorités du football italien veulent envoyer un signe fort, puisqu'en dépit des campagnes de l'UEFA et la Fifa contre le racisme, le fléau continue à contaminer l'Italie. De2005 à2007,dans l'ensemble des divisions, 134 faits à caractère raciste ou antisémite avaient été officiellement relevés. La saison 2005-2006 avait été particulièrement marquée par deux épisodes: cris de singe contre l'Ivoirien Zoro et banderoles néo-nazies exhibées par des ultras de la Roma.

Depuis septembre 2006 (à la suite des recommandations de la Fifa), le code de justice sportive prévoit que dans les cas de «particulière gravité» et de «pluralité des violations», les sanctions, pour les clubs coupables de passivité, peuvent aller jusqu'au retrait de points, voire à l'exclusion du championnat et la rétrogradation en division inférieure. La législation permet également aux arbitres de suspendre la rencontre.