Dulce
Nombre de messages : 7577 Age : 38 Localisation : Alger Emploi/loisirs/études : Actuellement superviseur en OFFSHOR et en MAGISTER II EN TRADUCTION ECOLE DOCTORALE D'ALGER Humeur/caractèr : Zen gentille Réputation : 30 Points : 1413008 Date d'inscription : 18/09/2007
| Sujet: - Symphonies électros - Sam 11 Oct - 20:30 | |
| samedi 11 octobre Air[Musique - Electro] Lieu : En tournée Dates : du 10 Octobre 2008 au 11 Octobre 2008 Aujourd'hui : Salle Pleyel - Paris (75008) Voir le programme complet-----------------Présentation 'Pocket Symphony', dernier album en date du duo versaillais, délimite de nouveaux territoires sonores qui démontrent que Air n'en est qu'au début de ses explorations musicales. Electro-pop aux influences diverses, la musique du groupe pourrait s'apparenter à une éternelle bande originale mêlant sons du passé et du futur.La critique [evene]
par Simon Murin Petite mise en ambiance du Zénith parisien avec le pop néo-hippie d’Au revoir Simone, trois filles aux cheveux longs, à l’air mutin et aux voix fluettes. Arrivent alors, tout pimpants, Jean-Benoît Dunckel et Nicolas Godin dans leurs atemporelles tenues blanches. Tout commence le plus simplement du monde, comme une évidence, rien n’est brusqué. Et c’est d’ailleurs comme une lente nappe de brouillard que va se développer le concert. Ambiance très "lounge" pour une prestation de qualité. Enchaînant les tubes extraits de leurs cinq albums, l’hypnose se fait lentement, imprégnant délicieusement le corps et l’esprit de chacun. C’est la mise en lumières qui nous empêche de s’abandonner avec délectation aux bras de Morphée. Dépassant la simple scénographie habituelle, le duo versaillais utilise en effet la lumière comme un élément spectaculaire à part entière qui vient compléter la proposition musicale. C’est donc ainsi qu’apparaissent sur les pendrions noirs les fameuses étoiles que 'Kelly' aime tant à regarder. Alors que l’on pourrait redouter un ennui probable dû au calme qui règne en maître sur les albums, le concert s’avère sur la durée nettement plus dynamique et vitaminé. C’est sur un ‘Sexy Boy’ attendu que s'achève la première partie, avant un rappel lui pour le coup survolté. Certains en sont d’ailleurs restés pantois, tant le son, la lumière, l’énergie s’approchaient de la puissance et de la tension cathartique propre au théâtre. On peut seulement leur reprocher la courte durée de cette soirée. Mais, ici, la qualité pardonne amplement la quantité… | |
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