Ce serait bien de mettre les espèces qui ont récemment disparu ...

Thylacine






Le Thylacine, appelé également Loup marsupial, Loup de Tasmanie ou encore Tigre de Tasmanie, était un mammifère marsupial carnivore de la taille d’un loup au pelage tigré. Depuis 1936, l’espèce est considérée comme éteinte.
Son nom scientifique est Thylacinus cynocephalus. Il appartient à la famille des thylacinidés. Il était la dernière espèce survivante de son genre mais on a trouvé de nombreux fossiles d’espèces voisines dont les plus anciens remontent au début du Miocène. L’animal apparenté le plus proche encore en vie est le Diable de Tasmanie.
Il était largement répandu en Australie et en Nouvelle-Guinée il y a plusieurs milliers d’années, mais des bouleversements réduisirent son habitat à la Tasmanie au sud-est de l’Australie, notamment l’introduction du Dingo(chien_sauvage)]Dingo vers le 3 millénaire av. J.-C. On attribue sa disparition de Tasmanie à sa chasse intensive encouragée par des primes d’abattage mais il y eut aussi l’introduction des chiens et l’enracinement des colons dans son milieu naturel.
Le Thylacine se nourrissait de toutes espèces d’animaux, notamment de kangourous, de wallabies et d’oiseaux nichant à terre. Il était plutôt nocturne ou semi-nocturne, se déplaçait lentement et était maladroit dans ses mouvements. Il chassait généralement seul.

Description

Les descriptions du loup de Tasmanie sont assez variables, fondées uniquement sur les spécimens conservés, les témoignages écrits, les peaux et les squelettes restants, les photographies et les films noir et blanc de l’animal en captivité et les histoires locales.
Le loup de Tasmanie ressemblait à un grand chien, au poil court avec une longue queue raide et soyeuse tendue dans le prolongement du corps comme celle des kangourous. De nombreux colons européens l’ont comparé à la hyène, en raison de sa posture inhabituelle et de son attitude générale. Son pelage jaune-brun portait 13 à 21 bandes sombres bien distinctes sur le dos, la croupe et la base de la queue, qui ont valu à l’animal son surnom de « tigre de Tasmanie ». Les rayures étaient plus marquées chez les jeunes spécimens, pâlissant au fur et à mesure que l’animal vieillissait. L’une des bandes s’étendait jusqu’à la face externe de la cuisse. Son pelage était serré et doux, d’environ 15 mm de long, les jeunes avaient une touffe de poils à l’extrémité de la queue. Les oreilles, arrondies et dressées, mesuraient environ 8 cm de long et étaient couvertes d’une courte fourrure. Le pelage avait une coloration variant du beige clair au marron foncé, le ventre étant de couleur crème.

Les thylacines adultes mesuraient entre 100 et 180 cm de longueur, y compris la queue d’environ 50 à 65 cm. Le plus grand spécimen jamais mesuré faisait 290 cm du nez à l’extrémité de la queue. Ils mesuraient environ 60 cm au garrot et pesaient de 20 à 30 kg. Il existait un faible dimorphisme sexuel, les mâles étant en moyenne plus gros que les femelles.
La femelle avait une poche marsupiale avec quatre mamelles, mais contrairement à de nombreux autres marsupiaux, la poche s’ouvrait vers l’arrière de son corps. Les mâles possédaient une poche scrotale, fait unique en son genre chez les marsupiaux australiens dans laquelle ils pouvaient rentrer leur scrotum.

Histoire de l'extinction

De nombreux rapports ont été enregistrés, des années 1930 jusqu'à nos jours. Pendant longtemps, ces observations n'étaient pas prises au sérieux par les agents de la faune de l'endroit.
Ces rapports sont trop nombreux pour être cités ici, mais mentionnons qu'il en existe aussi un grand nombre qui se seraient produits en Australie.
Entre autre, ces traces de pas (à droite) ont été photographiées en Janvier 2004, dans le Grippsland en Australie.

À plusieurs reprises, des caméras de surveillance ont été installées pour tenter de capturer l'animal sur film, mais malheureusement, tous ces projets ont échoués.
Et comme pour tout mystère qui se respecte, les canulars abondent, et nuisent à ceux qui cherchent sincèrement à trouver des indices prouvant que des thylacines seraient toujours vivants.

Le clônage du thylacine

Bien que plusieurs équipes de scientifiques sur la planète aient émis le souhait de faire revivre, par technique de clonage, certaines espèces animales disparues, le projet le plus en avance dans ce domaine est celui du thylacine.
En effet, c'est en 1999 que le projet démarre au Muséum d'Australie, situé à Sydney. Le défi est possible : il existe, à travers le monde, 7 carcasses de jeunes thylacines conservées dans de l'éthanol. C'est à partir d'une de ces reliques qu'en 2000, de l'ADN de thylacine est extrait.

En 2002, des copies enzymatiques de cet ADN sont créées avec succès à l'aide de la méthode PCR (Polymerase Chain Reaction). La bonne condition de cet ADN, qui n'est pas endommagé, pourra permettre le clonage de l'animal dans des cellules vivantes.
Certains scientifiques estiment que le premier thylacine cloné pourrait naître aux alentours de 2010!

OLÉ, JESSY!

BRAVOOOOOOOOO POUR LE RE THYLACINE!

jattends le 2010 avec impatienceeeeeeeeeeeeeeeeee

L'homme est un monstre! :

Le 1966 c'est l'anée de naissence de nineta....LOL!!!

Lorsque les derniers représentants d’une espèce animale meurent, cette espèce disparaît définitivement. On dit qu’elle est éteinte.

Causes d’extinction


La disparition, ou extinction, d’une espèce est souvent due à un changement important et brutal dans son habitat (milieu dans lequel elle vit). Les animaux risquent alors de ne plus trouver leur nourriture, leurs abris ou autres éléments nécessaires à leur survie.
La modification de l’habitat d’une espèce peut avoir diverses causes naturelles : éruption volcanique, inondation, incendie, sécheresse. Elle résulte parfois de l’intervention de l’homme sur l’environnement : déforestation, assèchement des marais, construction de barrages qui perturbent les cours d’eau. De même, quand il bâtit des villes sur leur territoire ou le détériore par la pollution, l’homme affecte gravement l’habitat des animaux.
Certains changements ne touchent qu’une petite région, d’autres affectent le monde entier. Un incendie peut provoquer la disparition des animaux qui vivent dans la région concernée. Un changement brutal et général du climat peut faire disparaître une espèce animale de nombreuses parties du monde.
L’homme peut aussi causer la disparition d’une espèce de façon plus directe. Certaines espèces ont été chassées jusqu’à l’extinction, comme les tourtes voyageuses, jadis très abondantes en Amérique du Nord. La dernière est morte au début du 20 siècle.

Extinction de masse


Quand de nombreuses espèces disparaissent en peu de temps, on parle d’extinction de masse. Dans le passé, il y en a eu plusieurs. Chaque fois, de nombreuses espèces ont disparu. Mais d’autres ont survécu et de nouvelles espèces se sont développées au fil de millions d’années.
La plus importante extinction de masse a eu lieu il y a environ 248 millions d’années. Elle a surtout touché des invertébrés qui vivaient dans l’eau. Une autre, il y a environ 65 millions d’années, a fait disparaître de nombreux animaux terrestres, en particulier les dinosaures.

Extinction des dinosaures


Les dinosaures sont apparus il y a 215 millions d’années. Ils sont restés les plus importants animaux terrestres pendant 150 millions d’années. La plupart ont disparu il y a 65 millions d’années.
De nombreux scientifiques pensent qu’un gros astéroïde (roche venue de l’espace) a causé cette extinction de masse. Il a percuté la Terre, provoquant un choc terrible. Une épaisse poussière et d’autres matériaux ont masqué le Soleil. La température a chuté, les plantes ne pouvaient plus pousser. Les dinosaures n’ont pas survécu au froid et au manque de nourriture. Mais des espèces primitives de mammifères et d’oiseaux ont survécu.

Extinction de grands mammifères


Une autre mystérieuse extinction a eu lieu il y a 10 000 ans. De nombreux grands mammifères ont disparu, en particulier les mammouths laineux et les smilodons, tigres à dents de sabre.
Les scientifiques ne connaissent pas vraiment la cause de cette extinction. Certains pensent que les hommes, devenus plus nombreux, ont trop chassé ces animaux ou les proies dont ils se nourrissaient. D’autres pensent qu’un changement de climat les a privés de leur nourriture.

Espèces menacées aujourd’hui


Depuis 200 ans, de nombreuses espèces animales ont disparu. Des centaines d’autres sont en voie d’extinction : ce sont des espèces menacées. Ainsi, 27 % des espèces de mammifères, en grande partie des primates, risquent de disparaître.
De nombreux pays s’efforcent aujourd’hui de protéger les espèces menacées. Des lois interdisent qu’on les chasse. D’autres protègent leur habitat contre la pollution ou la destruction. Ces mesures sont efficaces pour certaines espèces, dont le nombre de représentants s’accroît. Mais ce n’est pas le cas de toutes les espèces.

Merci ^^
La plupart des animaux en voie de disparition est la conséquence des agissements de l'homme ... à mon avis ...

c le cours de la nature qui le veut, si des animaux disparaissent c p être bien

Oui certes l'homme a la grande part de résponsabilité dans tout ça.

hadjerit a écrit:

c le cours de la nature qui le veut, si des animaux disparaissent c p être bien

S'ils disparaissent de façn naturelle ...

c l'écosystème qui est comme ça, wa7ed ydji lakhor iro7

c'est comme sa que sa marche

sabrinel a écrit:

Merci ^^
La plupart des animaux en voie de disparition est la conséquence des agissements de l'homme ... à mon avis ...

peut ètre que c'est la nature qui a fais qu'il y'aura une éspèce qui est l'homme, qui sera la cause de dusparition de quelques éspèces, mais je reffuse cette idée (mon idée) lol .

je vois que le principal cause de l'extinction des animaux c'est le climat, par exemple le Mammouth à une certaine époque on sais qu'il s'apnnouissait en Sibérie, plus exactement à l'age de glace,donc la Siberie était trop froide et il y'avait de l'hèrbes en abondance, quand l'ère glaciaire touchait à sa fin la rempérature augmentait alors les éspace occupé pas l'hèrbe qui était le principale repat des mammouth, c'est les grand arbres qui les occupent désormait, par conséquant y'avait pas nourriture suffisante pour les mammouth, qui a emmené à leur extinction.
un autre facteur chez les carnivors c'est la spécialisation, comme par exemple le Smilodon (tigre à dents de sabre) dont sa principale proie était le Toxodon, un annimal de grande taille qui ressamble bcp au Rhinoceros mais dépourvus de corne, quand le Toxodon a disparu, le Smilodon qui était spécialisé à la chasse de grand gibier a eu du mal à chasser les nouvelle éspèce qui a une petite taille, et qui cours on faisant des zigzag, alors il se voit souvand déséquilibré au cours de la poursuite, et en manque de nourriture et de grand gibier il s'est éteind.

Le TOXODON




Le Toxodon est un grand mammifère herbivore éteint qui, depuis la fin du Pliocène jusqu'à une époque relativement récente, a vécu dans ce qui devait devenir l'Argentine, l'Uruguay, le Paraguay, la Bolivie et le Brésil, c'est-à-dire une grande partie de l'Amérique du Sud. Son nom signifie « dent en forme de flèche ».





Un faux hippopotame

Ce gros animal ressemblait beaucoup par son allure à un hippopotame, et sa taille lui était de peu inférieure. La parenté entre ces deux animaux est cependant très lointaine : le toxodon appartient à un groupe d'ongulés primitifs dont l'expansion a suivi de près la disparition des dinosaures et qui se sont développés dans une isolement complet en Amérique du Sud, laquelle au cours du Cénozoïque était séparée des autres continents. Le groupe auquel appartient le toxodon, les notongulés, a pu ainsi donner naissance à un grand nombre d'espèces de toutes formes et de toutes dimensions : semblables à des rats, à des chevaux, à des rhinocéros, à des moutons, à des lapins et (c'est le cas ici) à des hippopotames.
Avec 2,70 m de long, une hauteur au garrot de 1,70 m et une queue de 50 cm, le toxodon avait un corps très robuste et plutôt court, soutenu par des pattes robustes et trapues, munies de vastes sabots permettant de supporter le poids imposant de cet animal. Les vertèbres étaient dotées de hautes apophyses qui soutenaient sans doute une puissante musculature, laquelle soutenait à son tour la tête puissante de l'animal. Cette tête était munie de larges mâchoires avec de grandes incisives qui lui permettaient d'arracher les plantes dont il se nourrissait. Ses lèvres charnues lui permettaient de saisir ces plantes, ses dents indiquant qu'il se nourrissait d'herbes coriaces aussi bien que de feuilles. On croyait autrefois qu'il était amphibie, mais les proportions du fémur et du tibia ainsi que la position de la tête, au-dessous du sommet de la colonne vertébrale, sont caractéristiques des animaux terrestres comme les éléphants et les rhinocéros. On a d'ailleurs retrouvé ses fossiles aussi bien dans des régions arides et semi-arides que dans des régions humides, ce qui dénote des mœurs essentiellement terrestres.
Cet animal est le dernier représentant des notongulés, éteints sans descendance à la fin du Pléistocène. La disparition de ces herbivores est due à la réunion de l'Amérique du Sud et de l'Amérique du Nord qui s'est accompagnée de l'immigration d'herbivores plus compétitifs et, surtout, de prédateurs particulièrement efficaces comme les tigres à dents à sabre. Le toxodon lui-même fait partie des rares notongulés à avoir survécu au Grand échange inter-américain, et sa disparition semble due à ce qu'il était chassé par l'homme (ses fossiles ont été retrouvés associés à des bouts de flèches) ; on invoque aussi des changements climatiques.
Parmi les espèces de toxodon les plus connues on cite T. burmeisteri et T. platensis (l'adjectif qui caractérise ce dernier se rapporte probablement à La Plata, en Argentine).