Bien pour l'Arbitre

Yebda je le vois mal jouer au PSG =S sa place est dans un championnat fort

1 2 3 Viva l'Algerie ! nchalah ya rebi nchalah

nchallah

ça craint pour l'Algérie. ils sont menés 1-0 a la 4ème minutes.

J'espère qu'ils ne vont pas nous mettre un paquet lol

oh que non! Ils ne l'ont pas fait :p

heureusement...

on va les écrasé encore une fois préparé vous pour la fête

L'Algérie «veut aller au bout»

«L'Egypte ou un autre, c'est pareil. J'ai envie de tout gagner c'est tout.» A l'image de son défenseur Anthar Yahia, l'Algérie affiche ses ambitions dans cette Coupe d'Afrique des nations. Tombeurs de la Côte d'Ivoire dimanche (3-2), en quarts de finale, les Fennecs n'appréhendent pas vraiment leurs retrouvailles avec les Eygptiens, qu'ils affronteront jeudi, en demies. Deux mois après des barrages houleux pour la Coupe du monde 2010, qui avaient envoyé l'Algérie en Afrique du Sud.

Yahia, lui, voit plus loin que le dernier carré. «En tant que mondialistes, nous sommes attendus depuis le début de la compétition et ça ne nous crée pas de pression supplémentaire. Simplement, comme on dit, l'appétit vient en mangeant.» Dit autrement : «On veut aller au bout de cette compétition.» Les Pharaons, doubles tenants du titre, sont prévenus.

enchanté mr. l'arbitre

j'ai vus cette arbitre au match Tunisie-Cameroune, j vais pas dire qu'il était tendre avec les tunisiens, ça crains.

Egypte-Algérie : équipes probables

Retrouvez la composition probable de l'Egypte et de l'Algérie avant la
demi-finale de la Coupe d'Afrique des nations entre les deux
sélections, ce jeudi à Benguela (20h30).

Egypte : El Hadary - Gomaa, H. Said, Moawad - El Mohamadi, Fathalla, A. Fathi, A. Hassan (cap.), Hosni - Zidan, Meteeb

Algérie : Chaouchi - Yahia, Halliche, Bougherra, Belhadj - Meghni, Yebda, Mansouri (cap.), Ziani - Matmour, Ghezzal

Madjer: «Le vainqueur gagnera la CAN»


Avant la très attendue demi-finale de la Coupe d'Afrique des nations entre l'Egypte et l'Algérie, Rabah Madjer (51 ans), ancienne star des Fennecs, s'est exprimé dans les colonnes du Parisien. «Ce doit être le match de la réconciliation»,
a d'abord souhaité en préambule le génial buteur du FC Porto lors de la
finale de Ligue des champions 1987 remportée face au Bayern Munich
(2-1). Fier de cette nouvelle génération, l'homme aux 87 sélections
estime que "son" équipe «joue avec coeur et donne de la joie au peuple algérien, c'est le plus important.»
Vainqueur de la CAN 1990, seul sacre continental de l'Algérie, Madjer
sait que vingt ans plus tard, Karim Ziani et consorts ont une occasion
en or de rééditer l'exploit.




«Les Ivoiriens ne nous ont pas pris au sérieux»


Selon lui, le futur roi d'Afrique se trouve d'ailleurs dans cette demie. «Le
vainqueur de ce match remportera la CAN. C'est une finale avant la
lettre. Il ne faut pas laisser passer cette opportunité. Sinon quand
regagnera-t-on cette coupe ?» Par ailleurs, l'ancien attaquant du
RC Paris et de Tours en a aussi profité pour adresser un petit tacle
aux hommes de Vahid Halilhodzic. «Les Ivoiriens ne nous ont pas pris au sérieux.»
Favoris de la compétition, les Eléphants de Didier Drogba ont été
éliminés en quarts de finale par les Fennecs (3-2 a.p.) après avoir
mené au score par deux fois.

Faites du foot, pas la guerre !

CHRONIQUE - Durant toute la 27e Coupe d'Afrique des nations,
on revient sur un événement
fait marquant de la compétition. Aujourd'hui, gros plan sur la
demi-finale Algérie-Egypte de jeudi (20h30) à Benguela.






Que n'a t-on pas déjà lu, vu et entendu sur les retrouvailles
algéro-égyptiennes de Benguela ? Pour ces deux inséparables du football
africain, il s'agira du quatrième acte, en l'espace de huit mois. Mais,
à écouter les uns et les autres, c'est plutôt une « guerre du foot »
qui se préparerait... Du grand n'importe quoi ! Personne, et surtout
pas les Egyptiens, ne peut aujourd'hui contester les actes de violence
dont ont été victimes les Fennecs à leur arrivée au Caire en novembre.
Les images tournées par Canal + sont là pour en attester.
Sportivement
ensuite, l'Algérie a déjà pris deux fois le dessus sur le champion
sortant : la première à Blida, lors d'un match à deux visages, au cours
duquel le « blitz » des Fennecs en seconde période se termina
par une spectaculaire victoire (3-1). A Khartoum ensuite, lors du match
de barrage, le 18 novembre (1-0). Le scénario fut différent : après
avoir piqué la première, « Khadra », la Verte, a laissé les vagues
égyptiennes échouer immanquablement sur son gardien Chaouchi. Jamais
deux sans trois, dit le proverbe...




Rêvons un peu...


En terre angolaise, il n'est plus question aujourd'hui de Coupe du monde ou de revanche. L'Algérie sera
en Afrique du Sud, elle a gagné en solidité et conforté son collectif
en Angola, où elle aura disputé en tout six matches. Sa Coupe d'Afrique
des nations, elle l'a déjà réussie. L'Egypte, elle,
aurait grand tort de considérer cette demie comme un match revanche.
Elle a été battue à la régulière en 2009. Elle ne devra viser que la
finale de cette CAN, et tenter la conquête d'un 3e titre consécutif,
une première. Toute autre façon d'appréhender la rencontre serait
ridicule. Malheur aussi à celle de ces équipes qui aurait le tort
d'oublier qu'il ne s'agit QUE d'un match de football. Mais, si l'on se
souvient bien des chocs précédents sur le terrain, les débats étaient
restés dans les limites du raisonnable.

Rêvons un peu, cela ne
coûte rien, on aimerait que ces équipes se saluent, comme il se doit
entre athlètes de haut niveau, que leurs encadrements se respectent,
comme il se doit aussi. Mais il est visiblement impossible, de part et
d'autre, d'extraire ce match du pesant contexte qui l'entoure. Ce qui
nous rassure, ce sont les mots de Rabah Saâdane, sage parmi les sages,
qui nous disait, lors du stage au Castellet, combien il était attristé
et affecté par cette fracture entre deux peuples si proches. « Ce n'est pas cela, le football »,
répétait-il. Effectivement. La réconciliation n'est certainement pas
pour demain, mais elle peut commencer aujourd'hui. Question de volonté.

Égypte - Algérie : Ce soir, à partir de 20 h 30, au stade Ombaka de Benguela

3 mondialistes dans le carré d’as

Parmi
le quatuor appelé à animer les demi-finales de cette CAN 2010, on
retrouve trois mondialistes. Il s’agit de l’Algérie, du Nigeria et du
Ghana qui représenteront le continent africain au Mondial sud-africain
en compagnie, outre du pays organisateur, de la Côte d’Ivoire et du
Cameroun, éliminés aux quarts de finale par, respectivement, l’Algérie
et Égypte.


L’Algérie a barré la route de la finale à Égypte en 1980…

La
sélection nationale croisera pour la deuxième fois de son histoire le
chemin des Pharaons au stade des demi-finales d’une CAN. Les deux
nations se sont, en effet, affrontés en 1980, au Nigeria, et n’ont été
départagées que par les tirs au but qui ont souri aux camarades de feu
Benmiloudi après un résultat final
de deux buts partout.

… Et n’a jamais été battue en phase finale d’une CAN par les Pharaons

En
quatre confrontations entre les deux teams dans les phases finales de
la CAN, Égypte est toujours à la recherche d’une première victoire
sur l’Algérie.
Outre l’élimination en demi-finale, par les tirs au
but qu’ils ont subie en 1980, au Nigeria, les Égyptiens ont été
étrillés par les Verts par trois buts à un à l’occasion du match de
classement lors de l’édition de 1984 en Côte d’Ivoire. En 1990, les
Pharaons, qui ont présenté une équipe « B » pour la CAN qu’a organisée
notre pays, ont, logiquement, perdu sur le score de deux buts à zéro.
La dernière confrontation entre Algériens et Égyptiens dans une phase
finale de la CAN remonte à 2004 qui a vu les poulains de Saâdane, qui
était déjà là, s’imposer par deux buts à un avec, notamment une belle
réalisation de Achiou à la dernière minute.

Codjia Koffi (Bénin) arbitre la rencontre

La
commission d’arbitrage de la CAF a désigné le Béninois Codjia Koffi
pour diriger le match Égypte – Algérie de ce soir. Il sera secondé par
Gahungu Desire (Burundi) et Chichenga Kenneth (Zambie)

L'Egypte n'avait pas besoin de ça



Vainqueur dans la confusion de l'Algérie (4-0),
l'Egypte affrontera le Ghana en finale de la CAN. L'affrontement
attendu a été faussé après l'expulsion du défenseur algérien Halliche
et un penalty accordé aux Pharaons.




Tombeur du Nigeria (1-0), le Ghana connaît désormais son adversaire en finale de la CAN. Dimanche soir, les Black Stars
affronteront les Pharaons égyptiens, victorieux des Fennecs algériens
(4-0). Des Egyptiens dont on imagine déjà les rêves d'un triplé inédit.
Vainqueur de la compétition à six reprises, l'Egypte tentera de
confirmer ses deux derniers sacres de 2006 et 2008 mais la façon avec
laquelle elle s'est hissée en finale laisse un goût franchement amer.
D'inachevé. On attendait davantage des retrouvailles entre les deux
équipes qui s'étaient expliqué en barrage pour gagner le droit de
disputer la Coupe du monde. Tout le monde s'en souvient, cela avait été
très chaud. Mais l'Algérie avait conquis à la loyale son billet pour
l'Afrique du Sud. Jeudi soir, elle peut légitimement en vouloir aux
arbitres de l'affiche tant attendue, véritable finale avant la lettre.




Penalty juste mais expulsion sévère


Car
la rencontre a été faussée par les maîtres du jeu dont la mauvaise
appréciation a fait basculer les débats. En premier lieu, Monsieur
Kodjia qui a expulsé injustement le défenseur algérien Halliche pour
deux cartons jaunes. Le premier était extrêmement sévère tandis que le
second, donné quelques instants plus tard et consécutif à une faute
dans la surface et donc à un penalty, pouvait se comprendre. La
conjonction des deux avertissements apparaît très sévère, ce que n'est
pas ce penalty. C'est le règlement, faute dans la surface équivaut à la
sentence et il y avait faute. Mais ce « peno » transformé par Hosny
aurait dû être retiré puisque le milieu offensif égyptien a marqué un
temps d'arrêt dans sa course d'élan avant de battre Chaouchi dont la
colère après-coup était compréhensible. Dès cette 39e minute, la fête
était gâchée. Les Algériens n'allaient pas s'en remettre.
Les Fennecs terminent à huit


Nation
la plus forte sur les deux dernières Coupes d'Afrique, l'Egypte n'avait
pas besoin de ça pour rallier à nouveau la finale. En supériorité
numérique, les Pharaons ont corsé l'addition par un superbe but de
Zidan qui, après un crochet du doit a enchaîné une frappe magistrale du
gauche se logeant en pleine lucarne (65e). Quatre minutes plus tôt,
Yebda aurait égalisé sur coup franc sans un superbe arrêt d'El-Hadary.
Les Egyptiens ont profité de leur avantage numérique pour enfoncer
l'Algérie sur deux autres buts de Abdul-Shafi (81e) et Naguy (90e+3)
alors qu'en face, démobilisés en seconde période, les Algériens ont
aussi eu le tort de craquer. Belhadj, pour avoir « découpé »
Al-Muhammadi (70e), et Chaouchi, pour une faute sur un attaquant
adverse (87e), ont vu rouge et laissé leurs partenaires terminer la
partie à huit. L'Egypte était peut-être la meilleure des deux équipes
et peut-être la meilleure d'Afrique - elle devra le prouver face au
Ghana - mais avant le tournant du match, c'était loin d'être évident.
Les Algériens pourront toujours se consoler en se disant qu'à la
différence de leur vainqueur du soir, ils joueront le prochain Mondial.
Mais on doute que ce soit suffisant après pareille déculottée dans de
telles conditions.

c'est la déculottée dans de telles conditions qui nous consolera
on a gagné notre qualification avec la sueur du front pas en trichant
je ne suis pas un spécialiste mais un champion d'Afrique qui gagne dans ces conditions est champion juste par le nom pas par les faits

c'est pourquoi le foot ne se développe jamais en Afrique dommage !

jessy_james a écrit:

j'ai vus cette arbitre au match Tunisie-Cameroune, j vais pas dire qu'il était tendre avec les tunisiens, ça crains.

j l'avais prédit hélas j'avais réson.

Chapeau bas, Mr Bougherra !







CHRONIQUE - Durant toute la 27e Coupe d'Afrique des nations,
Francefootball.fr revient quotidiennement sur un événement ou autre
fait marquant de la compétition. Aujourd'hui, gros plan sur la dignité
de Madjid Bougherra lors de l'élimination de
l'Algérie en demi-finale, jeudi, face à l'Egypte.

On ne reviendra pas sur les étonnantes circonstances qui ont présidé au résultat de cet Algérie-Egypte
(0-4). Rien ne laissait d'ailleurs présager pareille déroute, même si
l'Algérie accrédite la thèse du « complot ». On prend connaissance ce
vendredi matin des propos tenus par Rabah Saâdane, sage parmi les
sages, qui pointe du doigt l'arbitre béninois, coupable d'avoir fait
basculer le match selon lui en expulsant Halliche. Plutôt que d'entrer
dans une polémique stérile - chacun s'étant fait une idée en regardant
le match - qui ne fait que prolonger inutilement l'hostilité entre deux
grandes nations de sport, on ne retiendra ce matin que l'attitude,
pleine de dignité, de Madjid Bougherra. S'il ne
devait en rester qu'un, l'ancien colosse du FC Gueugnon serait
celui-là. Il aurait pu, comme quelques-uns de ses coéquipiers, céder au
découragement, et tomber encore plus bas en ayant recours, à son tour,
à des moyens illicites.




L'Algérie possède des joueurs de caractère capables d'affronter l'avenir


Madjid
Bougherra, jusqu'à la dernière seconde du temps additionnel, a gardé la
tête haute, essayant de terminer la rencontre avec le sentiment d'avoir
fait son devoir et respecté le maillot de « Khadra ». On avait peine
pour lui, en vérité, à le voir courir aux quatre coins du terrain,
alors qu'il ne restait plus que sept Fennecs dans le champ. Solide et
chevaleresque dans son comportement, Bougherra a tout donné, et lui au
moins, n'aura eu aucun regret à la fin du match. Cette attitude,
empreinte de bon sens, doit servir de point d'ancrage aux Verts pour la
suite de leur épopée, qui doit les conduire en Afrique du Sud. Ils ont
réussi leur Coupe d'Afrique des nations en s'installant dans le dernier
carré. Il leur reste maintenant à digérer Angola 2010. On fait
confiance à Rabah Saâdane, l'épreuve africaine a été riche en
enseignements. Avec Madjid Bougherra, mais aussi Hassan Yebda,
assurément la grande « révélation » côté Fennecs, l'Algérie possède des
joueurs de caractère capables d'affronter l'avenir.

C'était la
première fois, après avoir couvert neuf éditions de la CAN, que nous
assistions à trois exclusions en direct, dont une, déclencheuse d'une
série d'évènements regrettables sur le terrain. On espère bien que ce
sera la dernière fois. Et l'Egypte, dans tout ça, quasi absente des
pronostics d'avant CAN ? La Momie est toujours là, plus confiante que
jamais. Mais elle n'a pas encore gagné.

jessy_james a écrit:

jessy_james a écrit:

j'ai vus cette arbitre au match Tunisie-Cameroune, j vais pas dire qu'il était tendre avec les tunisiens, ça crains.

j l'avais prédit hélas j'avais réson.

celui du match contre le Rwanda est mieux que lui

Foot/CAN-2010 - Algérie : la première exclusion était "planifiée" (Saâdane)


Rabah Saâdane, sélectionneur de l'Algérie battue 4-0 par l'Egypte en
demi-finales de la CAN-2010, à Benguela, a estimé que la première
exclusion, touchant son défenseur Rafik Halliche, avait été "planifiée
avant". "L'arbitre a expulsé gratuitement notre meilleur défenseur,
c'était bien planifié avant, a-t-il accusé. Il faut voir la réalité :
le match, c'est l'arbitre qui l'a fait basculer, c'est clair et net".
Interrogé sur d'éventuels recours, Saâdane a répondu: "Ce n'est pas
nécessaire, il faut s'arrêter là. L'essentiel est d'avancer". Halliche
a provoqué un penalty en fauchant Meteeb dans la surface et a reçu un
second carton jaune sur l'action (39e).AFP

Foot/CAN-2010 - Troisième finale consécutive pour l'Egypte qui torpille l'Algérie 4 à 0

AFP









L'Egypte
a marqué quatre buts et l'Algérie a pris trois cartons rouges : les
Pharaons ont survolé leur demi-finale de la CAN-2010 (4-0), à Benguela,
et se qualifient ainsi pour leur 3e finale continentale d'affilée qui
se jouera dimanche contre le Ghana. Un jeu clinique et appliqué en
passes courtes côté égyptien, sans s'affoler, et un jeu désordonné chez
les Algériens, qui n'arrivaient tout simplement pas à poser leur jeu ni
à compenser ces lacunes par leur habituel supplément d'âme. Pourtant,
les Egyptiens n'ont pas matérialisé leur maîtrise par pléthore
d'occasions. Hormis la frappe de Meteeb, sur une remise de Zidan, que
détourne magistralement Chaouchi (25e) et une frappe de Gedo repoussée
par le même gardien (86e), rien à signaler de net. Mais un réalisme
pharaonique.AFP