Dulce
Nombre de messages : 7577 Age : 38 Localisation : Alger Emploi/loisirs/études : Actuellement superviseur en OFFSHOR et en MAGISTER II EN TRADUCTION ECOLE DOCTORALE D'ALGER Humeur/caractèr : Zen gentille Réputation : 30 Points : 1413008 Date d'inscription : 18/09/2007
| Sujet: Médicaments: Rupture du produit générique Ven 27 Mar - 13:13 | |
| Il a été constaté ces derniers jours une rupture de certains médicaments dits de première nécessité destinés entre autres aux maladies chroniques.
Ace sujet, des pharmaciens interrogés çà et là à travers la ville d’Alger ont été unanimes pour confirmer cette pénurie. Parmi ces produits on recense notamment la rareté, voire le manque des antidépresseurs, des cardiovasculaires, des hypoglycémiants, des antihypertenseurs, des anticoagulants, des médicaments de certaines maladies endoctrinologiques comme le goitre, et des sels de réhydratation pour enfants.
Une pénurie que les pharmaciens amputent au fait que les médicaments leur sont distribués en quantité insuffisante et surtout ils déplorent tous la pratique du système des quotas employés par les distributeurs.
L’un d’eux ajoutera qu’«on stocke pour éviter la rupture, mais cela n’est pas évident, car on vient toujours à épuiser ce stock pour les maladies les plus répandues comme ceux destinés aux hypertendus, aux diabétiques, aux cardiaques».
Une pharmacienne sur la place du 1er Mai vient soutenir ce problème «du manque des médicaments les plus prescrits sans parler des bains de bouche et autres produits de moindre urgence».
Une autre mettra cela sur le compte d’une mauvaise gestion dans la distribution des médicaments en déclarant qu’«il faut être parmi les premiers chez le distributeur, et selon le chiffre d’affaires, pour bénéficier d’un bon quota de médicaments ».
Les malades, pour leur part, s’indignent devant cet état de chose, et ne comprennent pas «comment estce que pénurie peut avoir lieu alors qu’il s’agit de produits nationaux».
Face à cette situation, les pharmaciens sont très inquiets et se disent «être dans le désarroi» par rapport aux malades, ne sachant pas quoi leur répondre, ni leur donner comme autre alternative et pensent que «la présence de plusieurs sortes de produits génériques étrangers ainsi que la vente par concomitance imposée par les distributeurs ne viennent pas pour arranger la situation».
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